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Avec les années de pratique, j’ai développé des intérêts particuliers pour certaines problématiques et je me suis spécialisée dans les domaines suivants :
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Je me suis intéressée à l’impact de la périnatalité sur la femme, l’homme et le couple. La venue d’un enfant et tout ce qui l’entoure (fertilité, grossesse, accouchement, transition du couple à la famille, etc.) est un évènement majeur dans la vie d’un individu et d’un couple et peut parfois impliquer certaines difficultés.
La sexopérinatalité s’intéresse à l’intimité du couple parental et leur relation sexuelle durant la période périnatale qui commence avec la décision d’avoir un enfant et se termine quand l’enfant a 2 ans. C’est une période qui est ponctuée de changements majeurs pour le couple et c’est aussi un moment de grand stress pour les conjoints. Le bonheur et la satisfaction conjugale sont à la baisse à cause des tensions produites. En fait, au Québec, le taux de séparation et de divorce peut dépasser 50% (38% au Canada) et une grande proportion de ces séparations surviennent chez les couples avec de jeunes enfants.
La parentalité peut être un beau projet pour le couple, malgré ces facteurs de stress. Afin de bien se préparer ou s’adapter à cette transition, les couples peuvent bénéficier d’une thérapie préventive.
De plus, je donne aussi des cours prénataux pour aider les couples à bien se préparer pour l’accouchement.
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Encore méconnues et qui prennent souvent longtemps à diagnostiquer, les maladies et douleurs vulvaires et vaginales sont plus fréquentes qu’on le pense. Dans les faits, une femme sur cinq vit de la dyspareunie (douleur aux relations sexuelles) et la vestibulodynie provoquée (douleur au niveau du vestibule vulvaire à la pénétration) à une prévalence de 12% de la population générale et est la cause la plus fréquente de dyspareunie chez les femmes pré-ménopausées.
Entre autres, voici quelques exemples de diagnostiques pouvant causer des douleurs pelviennes, vulvaires ou vaginales : L’endométriose, le vaginisme, la dyspareunie, la vulvodynie, la vestibulodynie, la clitorodynie, le lychen schléreux, simplex ou plan, la cystite interstitielle, etc.
Malgré le fait que la douleur soit un phénomène physique qui est vécu dans le corps, la thérapie peut aider à adresser les facteurs émotionnels, cognitifs, comportementaux, relationnels, et corporels qui peuvent exacerber et maintenir en place la douleur.
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Selon les études récentes, la dysfonction érectile est présente chez 6.5% des hommes âgés de 30-39, chez 39% des hommes dans la quarantaine, et chez 67% des hommes après l’âge de 70 ans. L’éjaculation précoce pour sa part est présente chez 20 à 30% des hommes de tout âge.
Plusieurs facteurs comportementaux, cognitifs, émotifs ou relationnels peuvent exacerber ou causer ces problématiques. De plus, la présence d’un trouble érectile ou d’une éjaculation précoce peut causer une grande détresse chez l’homme ou dans le couple. Ils peuvent affecter l’estime de soi, causer de l’anxiété de performance ou la dépression et diminuer le désir et la satisfaction sexuelle.
Le trouble érectile et l’éjaculation précoce sont les deux problématiques les plus fréquemment présentées chez les hommes en sexothérapie. Il n’y a pas de gêne à aller chercher un soutien et une aide professionnelle; ce sont des difficultés courantes qui se travaillent bien en thérapie brève.
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À par les problèmes de communication, qui sont à la base de beaucoup d’autres difficultés de couple, la baisse de désir et l’infidélité sont les deux problématiques les plus communes en thérapie de couple :
- L’infidélité chez les hommes, les femmes et les couples
Entre 20-30% des hommes et 15-20% des femmes sont infidèles à un moment donné dans leur vie. Parmi ces couples, un couple sur deux choisit de rester ensemble suite à une infidélité. Le processus de guérison, de réconciliation et de rétablissement de la confiance est difficile suite à la découverte d’une infidélité et ça peut être bénéfique d’aller chercher une aide extérieure. La thérapie de couple peut vous aider à surmonter cette période de crise et rétablir la confiance et le bien-être dans votre couple. - L’absence ou la baisse de désir chez les femmes, les hommes et les couples
Saviez-vous que 43% des femmes âgées entre 18 et 59ans rapportent avoir une dysfonction sexuelle reliée au désir ou à l’excitation, incluant 33.4% ayant un trouble de baisse ou d’absence de désir? De plus, les hommes aussi peuvent vivre des baisses de désir. En fait, dans un sondage fait auprès de 13 882 femmes et 13 618 hommes âgés de 40 à 80 ans de 29 pays différents (Global Study of Sexual Attitudes and Behaviors, 2005), l’ont a découvert que 26-43% des femmes et 13-28% des hommes rapportaient avoir du désir sexuel faible.
Maintenir le sentiment amoureux et le désir sexuel dans une relation amoureuse : Voilà le grand défi du couple! Les trois piliers du couple sont le sentiment amoureux, la sexualité et l’engagement. Ceci dit, lorsque le couple éprouve une difficulté sexuelle, cela peut entraîner une détresse psychologique pour l’individu et nuire au couple. Le désir sexuel hypoactif est une problématique multifactorielle et la thérapie peut vous aider à mieux comprendre les facteurs en cause et trouver les solutions adéquates pour reprendre le processus de séduction et raviver votre sexualité de couple.
